Le terme Doublespeak, profondément enraciné dans les écrits de George Orwell et défini par Edward S. Herman, est influencé par la perspective d'Orwell sur le langage politique. Il désigne l'utilisation délibérée d'un langage ambigu ou trompeur pour dissimuler le sens réel d'une déclaration. Ce langage astucieux est souvent utilisé dans divers secteurs tels que la politique, publicité[1]Les médias sociaux, la comédie et les médias sociaux. Les hommes politiques ont fréquemment recours à la langue de bois dans leurs discours, les publicitaires l'utilisent pour masquer leurs véritables motivations, les humoristes s'en servent pour des commentaires satiriques et les plateformes de médias sociaux l'emploient pour contourner la modération du contenu. Le double langage a le pouvoir de modifier les modes de communication, d'influencer le comportement des consommateurs et même de façonner la comédie. C'est un concept qui souligne la complexité et les risques potentiels de l'exploitation du langage.
Le double langage est un langage qui délibérément obscurcitLa loi sur les droits de l'homme et les libertés fondamentales sens de mots. Le double langage peut prendre la forme de euphémismes (par exemple, la "réduction des effectifs" des licenciements et "servir la cible" pour bombardement), auquel cas il est principalement destiné à rendre la vérité plus acceptable. Il peut également s'agir d'une ambiguïté dans le langage ou à de véritables inversions de sens. Dans ce cas, le double langage déguise la nature de la vérité.
Le double langage est le plus étroitement associé au langage politique.